Mes Méditations Poétiques

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             MES PREMIERS PAS




L’été indien, après son grand vol plein, promesseJugea mes sonnets si sublimes plus vermeilsL’amas des poussières pèse l’idéale vieillesseÉpris des mots paradisiaques en sommeilsTrois larmes dormantes vont chatouiller ce siteL’éclat de mon émeraude va briser penséLa percé charnel de mes ailes que visiteMagie d’antan, l’arrosé en vers plus senséMa prunelle, aux contes trois larmes souffles sourdsQuelqu’un cri oh ! Sa pureté m’est destinéeMes lèvres cachent les éternels baisers lourdsQuelqu’un lui ! fait ton vœu, ma beauté satinée ?Fondant aux désirs, premières pluies de germeNoir blanc et ses sept perles tous en actionsMon âme jaillit d’écho, sain zéphyr suprêmeSa lueur d’or surprit les constellationsForgeant mon sang de mot fin, flegme sens soyeuxBref, la nuit dort à côté, en réveil joyeuxTends son hamac au soleil, en roses d’étoffesFleurs fines se penchentJusqu'à l’extase opiacée du suc des strophesfleurs fines se penchent à mes pieds, frémissantesSa rosée parfum d’opium reluit ma vieSon ivre bonheur ravive mes failles stressantesBrulant la nue plage, mon esprit seul revitJe revois pensif, mes pas scintillent la cendreL’aigle à l’horizon accouche ce vent qui rongeLes sirènes en rage vague, peur de me fendreMon grand élan, un beau temps en roman de songeMon océan, fraîcheur d’épis, j’en suis sereinGrandes houles imbibées de bruits des cerisesTaillant ma lame de brise choyée, romarinVice tigresse, serres séculaires acquisesSes fards reflet du crépuscule au rayon d’aubeSes appâts parfumés meurent sous l’oreillerErrant dans son blanc cachemire, tiède corps m’enrobeSa pluie fine sonne au sphinx, mon cœur d’œilletJ’ai pu jamais dorer mon cœur de félonieNi de faux miroirs clos aux clartés de mes yeuxMes sourcils gouttes blanchissent la pierre jaunieMon haleine transpire lyre, boue aux cieuxMon bleu oiseau et les étoiles scintillantesM’ont promis les frissons murmures, feuilles d’arbreLes secrets, vent des collines, nuits pétillantesLa fée d’amour son sein fou, ses talents de sabreJ’ai remis voile à son bateau, ancre conscienceScellant mon volcan en duel d’esprit et d’âmeSouffrances des plaines, d’abimes plaie en transeL’Éden et flot d’étoiles assouvit ma flammeMon désir ta nuitée soit mon hôte en passionMes promesses, sangs et lèvres soient réelsMon souhait t’oublier à l’horizon patientM’arracher sur mon tombeau tes baisers cruels

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                                                                 UN INCONNU DÉSESPOIR
                                                         
Ce matin je me sens vieux depuis quelque jour
Le temps cloué au mur, décennie tic vautour
Lugubre voix autour
Je prends café et petit pain, j’en mâche, bois
En heure minute, stressant langue de bois
Amèrement, j’aboie
Mon bleu oiseau teint son chant, queue d’un renard
Honteux, bec d’un hibou poilu, j’ai peur canard
Tout me dépasse blafard
L’épais journal penche ma table, souffle la tonne
Folie d’océan en granit sans but tâtonne
Me griller ça m’étonne ?
Je m’emporte, la rue longue, ès mon pas lent ?
Ès un faux, raté ? Ou courir tout en râlant
Fatigué insolent
Ses nains inhumains, j’existe, ou foins du rien
Peuple d’égoïsmes me percute, suis-je terrien
Mon pouls dix-sept vaurien
Le ciel de cuivre sans néant, ni graine d’or
La mer merde bol crasseux vomit ce poisson mort
Mon pouls dix-huit, je mords
Dans le jardin, je m’arrache ce banc, tout flotte
Un chêne tend sa branche en petite pelote
Abattu, je grelotte
Les momies fleurs, odeur de poule pendue
Couleurs saturées en bande noir étendue
Trait, nature fendue
Le vent amasse une par une feuille d’arbre
Sa mouche me pique, je rentre gelé en marbre
Sur ma chaise macabre
Je le revois fouiner l’esprit de mon journal
Dois-je encore bruler deux fois, ça me fait mal
Je prends mon briquet sale
Je pousse tout dur un oui, ou ce facile non
Creuser, chercher la perle rosée à ton nom
Un chemin grand tournant
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UN TIC COMME LES AUTRES

En train d’Alger, j’ai vu ma pure innocence
Je me suis rapproché de ma petite enfance
Mon cœur bat l’existence
Dans le creux de sa joue, rêve puissant m‘enfante
La fougère rose du sourire, sa voix m’enchante
Danse mon cœur, danse et chante
Son parfum inchangé, j’expire le passé
Déchire l’âme d’un beau bonheur trépassé
Corps laiteux teint massé
Je transpire la sphère, l’hiver en cristal
Blanche nature dans un flocon fin mistral
Pansé en neige plus pâle
Elle contempla mes yeux d’un souffle inconnu
J’ai chuchotais dans ses cheveux, à son cou nu
Bon vieux temps revenu
Mon baiser d’opium marque tes lèvres braves
Ton tilleul doit pas oublier nuits chaudes graves
Mes tendresses esclaves
Joue en gouttes sueurs frappent ses paupières
Poudres tièdes roulantes brulantes en pierres
T’oublier en prières
Vibrant ma peau mon corps, l’âme jusqu’à l’échine
Le plus pur amour dans mon étui en fleur fine
Une image divine



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                                               LE BRAILLE DE COEURH

Quelle est ta lame nature ? Tu pars sans moi
Quel sera ton deuil amour ? Tu quittes mon front
Mon iris dans l’aube sans floraison se noie
Mon âme cultive, jardin du mal ou naitront
Les froides blessures en mon cœur oublié
L’éclat du soleil, cache des yeux scorpions
Transfigure l’aurore, d’essaim baiser plié
Soulève l’arome, feuilles mortes en pions
Rude destinée, main tracée dicte-moi ma vie
J’offrirais tant, mon parfum d’opium d’avril
Je sais chaque bouffée sur lèvre un mal d’envie
Des ondes chaudes d’appâts sur un fond viril
Je tends ma joue à l’oiseau, mon âme j’en couve
Contre la torpeur lunaire, sur mon épaule pèse
Un rideau noir la peur d’un miroir blanc, j’approuve
Mes rides tracent volontiers, passées en braise
Ruisseaux, désolations, désespoirs, douleurs
Tôt ou tard, la lueur façonne l’horizon
Trainera l’obscurité aux fins des douceurs
Eau de rosée, larme de joie pleine saison




                                      TES YEUX SONT MA FAIBLESSE

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  J’ai plus envie, pénétrer les cimes des yeux

Ses couleurs m’emmènent loin, distraits dans leurs charmes

Souffrances pénibles flash d’esprit oh ! Mon dieu

Marron mielleux me sue froides chaleurs parmes

Ce noir obscur, sa toile d’araignée m’ensorcelle
      Bleu, vert claire beauté d’ange alarme ma chair

Pures vierges lames, d’œillade me harcèle

Ce fruit d’iris volupté d’éden m’est si cher


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MA MAISON DE RÊVE

                                          LES CADEAUX DE LA VIE
Ce que j’ai dessiné à l’huile ou ce chemin à trot n’a pu être réalisé. J’ai aimé que les bons moments puissent durer assez longtemps hélas, le sourire se métamorphose, la pluie revient en gouttelettes ruisseler les anciens passages, et tous les puits sèchent au dernier seau. J’ai tout abandonné les espoirs des instants rêves de mes nuits étoilés, c’est qu’alors j’ai créé une légende à l’absurde, le sacrifice aux certaines choses dénuées de leurs vraies valeurs. J’attendais chaque année, la saison ou la marée hausse le ton, l’écailler bleu rejoint l’eau douce par les courants rocheux, l’embellissement des couleurs de la vie en teints plus renaissants, voir l’étoile filante étinceler mes vœux de semence aurore. Une paix en sérénité très enviée. Pendant que j’étalais mes douleurs au débordement de la source en délire, mes souffrances au mutisme de l’astre stellaire en folie dans l’univers. Une créature du vent venant, une frôleuse beauté que DIEU créa puisque notre Tout-Puissant aime la beauté, réveilla le chaos d’une jeunesse qui m’a tout pris. La fièvre de mon âme ralluma la boule magique de mes yeux. BON DIEU ! Rien n’a été décimé, mon tableau resta intact. Une maison à deux fenêtres, l’entrée d’escalier en granit, entouré d’un jardin de sapins plein de fraîcheurs et d’ombres, l’étoile de mer plus vivante dans le petit coffret d’acajou. L’amour desséché rayonne, déborde mon berceau d’un lustre de l’infini

(Le déluge du poison dans le miel du passé refait surface.)

MON BAISER D’OPIUM

          Tu n’as pas changé mon cœur ravive ton charme

L’extrait suave, lèvres euphoriques m’enchantent

Ce qui me retient ce baiser, un maitre d’arme

Si loin t’as remarqué que fatigues, me hantent

L’amitié seule dans tes yeux bat ta joie profonde

Je garde mon secret sous la fleur d’oranger

Ton amour grand fleuve me creuse chaque seconde

Si ton oublie chute l’avenir, faut me changer

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MA MAISON DE RÊVE


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